Prendre ses responsabilités, et en assumer les conséquences c’est la règle phare pour grandir. Quand l’homme devient adulte sur le plan biologique, cela veut dire qu’il est capable par ses capacités physiques et psychologiques d’assumer ses responsabilités. Il n’a plus besoin d’avoir un biberon dans la bouche, car il peut traire la vache lui-même et en commercialiser le lait.

Pour Tolstoï, l’écriture doit avoir un sens et s’éloigner de ce qu’il appelait les « romans » (souvent ses propres livres d’ailleurs). Les mots inscrits sur le papier existent pour transmettre des codes, des valeurs, en somme des outils qui permettent de mieux vivre sa vie. Le livre doit répondre à des besoins viscéraux de changement.
Il ne faut écrire qu’au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l’encre un morceau de ta chair reste dans l’encrier.
Léon Tolstoï

Le mythe de l’anneau a une portée universelle. Et s’il tire sa forme des antiques mythes scandinaves, Tolkien en a changé le fond en présentant l’anneau unique. D’ailleurs, il n’est lui-même pas très convaincu d’avoir reproduit bêtement les mythes de l’anneau, pour preuve cette lettre à son éditeur :
« Les deux anneaux sont ronds, et c’est là leur seule ressemblance«
Lettre de Tolkien à son éditeur en 1961

La prière, c’est l’action de communiquer avec Dieu, ou plutôt avec soi-même. Pour prier, nous essayons de rentrer en nous-mêmes et de nous éloigner des perturbations externes. C’est notamment tout l’intérêt d’une église qui, par ses épais murs de pierres, devient un isoloir de grande dimension.


Quand on parle de science, il est fréquent de penser aux académiciens, doctorants, aux grandes universités. On a du mal à imaginer que certains hommes de l’histoire aient pu faire des découvertes en dehors du réseau universitaire. Pourtant, je vais vous relater la vie folle d’un autodidacte qui, contre toute attente, est devenu l’un des plus grands biologistes de l’histoire.

Si Ulysse succombe à la tentation d’écouter les sirènes, ce n’est pas par faiblesse, mais par une curiosité bien placée (découvrez mon article : La curiosité, vilain défaut ou pulsion de vie ?). Ce rusé n’est pas du style à foncer tête baissée, mais plutôt à récupérer des informations sans dangers.

La curiosité est un vilain défaut ?

On entend souvent dire que « la curiosité est un vilain défaut ». Cependant, la curiosité est la capacité de s’intéresser aux choses qui nous entourent. La curiosité porte l’individu à s’interroger, et l’incite à se renseigner pour répondre à ses interrogations. Cette pulsion est inscrite dans le monde animal. Chaque nouvelle stimulation dans l’environnement va attirer l’attention, l’être va tourner la tête, sentir, observer pour recueillir des informations via ses sens.

Il arrive que la vie s’acharne sur nous, qu’un nombre incalculable de causes nous écrase, dans ces cas-là un voile se dépose devant nos yeux et le monde s’obscurcit. C’est alors qu’il faut devenir optimiste. Mais comment faire preuve d’optimisme ?

Tandis que je regardais le film « Réminiscence », j’ai été frappé par une phrase particulièrement juste à propos de la mémoire :
Le souvenir est une perle sur le collier du temps
Réminiscence
Le Souvenir, ce mot Souvenir symbolise cette capacité de se remémorer les instants passés. On peut se souvenir, ou bien posséder un objet, un souvenir qui stimulera notre mémoire.


Au Moyen-âge, la figure du chevalier inconnu, ou chevalier noir est déjà bien connue du public. Il s’agit de chevaliers qui combattent dans l’anonymat sans marques distinctives. Ni bannières, ni couleurs, seulement des hommes qui agissent dans l’ombre. De nos jours, le chevalier noir le plus connu est bien Batman, qui symbolise le sacrifice ultime. En costume, il protège lui et ses proches de toutes les conséquences de la gloire, c’est-à-dire de la jalousie mais aussi des admirations. Il agit au détriment de sa vie pour défendre l’entièreté du groupe.