L’homme est une créature étrange, car elle a conscience d’être de par son esprit. Cette conscience, est-elle une illusion ? Sommes-nous des marionnettes ou bien possédons-nous véritablement le libre arbitre ?
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Le monde, par sa structure, rend parfois la condition humaine difficile et dure à supporter. Combien sont tombés sous les coups de la vie ? Tôt ou tard, l’être humain est amené à souffrir, à ressentir la peine et la douleur, à voir la souffrance et la mort, car le monde est ainsi fait et il n’épargne personne. Chacun, de son échelle, reçoit son lot de misères. Ce qui différencie alors les hommes, c’est la manière dont il vont faire face à cette fatalité.

C’est quoi être avare ? L’avare veut avant tout conserver ses possessions, le reste n’étant pas vraiment important. Ce faisant, l’esprit de l’avare est en permanence préoccupé par ses biens. Qui essaye de le voler ? Comment cacher ceci ou ne pas donner cela ? Voilà les questions qui taraudent l’avare, ce grand malade qui porte en lui les maux de l’Avarice.

Au commencement était le Verbe. Depuis que l’homme a acquis le Verbe et des notions de temps dans son langage, il raconte des histoires. Cette pratique naquit d’une possibilité : celle de discuter pour transmettre des informations, de parler au passé afin de mieux enseigner le futur.

L’action de se confesser, revient à confier une part de notre âme à Dieu, en passant généralement par l’intermédiaire d’un prêtre. Ensuite, selon ce que les faits inspirent au confesseur, celui-ci peut absoudre le pécheur. L’individu est alors purifié et devient pénitent. Il se rachètera auprès de la société par sa résurrection. Persistant depuis des siècles, cette confession chrétienne porte les âmes. Il peut sembler facile de se confesser, mais qu’en est-il réellement ?

Nous avons tous un jour ou l’autre été confronté à l’orgueil, celui-ci est partout et bien ancré dans l’âme des hommes. Plus ou moins attisé, il se fait petit chez certains tandis qu’en d’autres il se déchaîne. Mais concrètement, c’est quoi l’orgueil ?

C’est lorsque nous pensons qu’il n’existe pas, qu’il gagne. C’est lorsque sa ruse lui permet de se dissimuler, de se dérober à notre perception, que toute sa malice se répand. Je veux bien évidemment parler du Diable, mais comment le Diable se cache t-il dans les détails ?

Des évènements effroyables peuvent frapper les âmes, du plus profond de leur être ces personnes en veulent au monde pour leurs malheurs. Dans un profond déchirement ils sombrent parfois dans la colère ou le désespoir, mais comment panser ces plaies ? Comment apaiser ces êtres dévastés ? Comment accepter ce qui est ?

L’immortalité marque la persistance d’un corps dans la matière, ce corps est éternel car il ne peut être anéanti par le temps. Depuis le point conscient où l’être humain s’est rendu compte de sa mortalité, il cherche à y remédier dans une quête d’immortalité.

« Tout ce que tu donnes Dieu te le rendra ». Cette phrase sonne comme si Dieu avait une dette à payer. Qu’un jour ou l’autre il récompensera le donateur en lui offrant tous les biens du monde. Cette pensée détourne par le fait même le sens de la phrase. Le don doit-il endetter celui qui reçoit ? Un don fait à un frère humain doit-il endetter Dieu ? Le don est un don, par essence il ne demande rien en retour. Malgré tout, la bonne action provoque t-elle un retour positif d’une façon ou d’une autre ?